24 heures pour traiter les demandes d’asile considérées vouées à l’échec, voilà le projet pilote lancé fin novembre 2023 par le SEM s’appliquant aux personnes originaires d’Algérie, de la Libye, du Maroc et de la Tunisie. Cette décision laisse penser que ces pays sont sûrs pour les ressortissant·es en cas de retour et qu’ils ou elles n’auraient pas de motifs de fuite.
Qu’en est-il réellement ? Le cas de la Tunisie questionne la pratique expéditive qu’entend mener la Suisse dans l’examen des motifs alors que le pays connaît une dégradation significative des libertés politiques et des droits humains. Continued
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